Elle a beau être jurassienne, c’est en costume alsacien que Sarah Dedenon accueille chaque jour les visiteurs du parc Little World, près de Nagoya. Une année de transition et d’immersion linguistique et culturelle pour cette étudiante du Département d’études japonaises. Qui plus est en 2016, année du Japon à l'Unistra.
Un monastère bouddhiste, des cases burkinabés, une tente bédouine, un palais péruvien et… une ferme alsacienne. Le parc japonais Little World se veut un aperçu des modes de vie du monde entier, version condensée, mais à taille réelle. Situé à Inuyama, près de Nagoya, c’est le lieu de travail de Sarah Dedenon, depuis septembre. Étudiante au sein du Département d’études japonaises de l’Unistra, où elle a obtenu sa licence de langues et cultures étrangères l’année dernière, Sarah n’aurait jamais imaginé, il y a un an encore, être catapultée dans un pays qui la fascine depuis plusieurs années, et qu’elle a d’abord découvert par sa culture populaire. « C’est ma première fois au Japon. » Et pour une première expérience, celle-ci est de taille : chaque jour de la semaine – excepté les jeudi et vendredi, ses jours de week-end – Sarah accueille les visiteurs de ce parc unique en son genre. « C’est une véritable immersion puisque je ne parle presque qu’en japonais. Ici, l’anglais est peu pratiqué. » D’autant que le public de Little World est constitué de beaucoup d’enfants. Sarah répond à leurs questions sur l’Alsace et la France, et propose également de revêtir costumes traditionnels alsaciens et… robes « de conte de fée », censées symboliser les vêtements de nobles français du 17e siècle. Car dans ce « musée de l’homme en plein air », l’Alsace est la seule région française représentée. La maison à colombages côtoie des habitats italiens et allemands, dans la partie du parc dévolue au continent européen. Les gourmands peuvent même se laisser tenter par une tarte flambée ou un verre de riesling !
Pierres et tuiles envoyées au Japon par bateau
Sarah n’est pas, loin s’en faut, la première à revêtir le costume d’accueil de la ferme alsacienne transplantée au pays du Soleil-levant. Chaque année depuis 1985, une jeune femme originaire d’Alsace s’envole pour assurer ce rôle. Ici, contrairement à Disneyland, les décors ne sont pas faits de carton-pâte. « La politique du parc est de faire venir de vrais bâtiments », poursuit Sarah. La ferme alsacienne n’a ainsi pas été construite avec des matériaux locaux, « mais provient bel et bien d’Alsace, du Sudgau plus exactement. « La maison d’habitation pluricentenaire et ses deux annexes ont été démontés pierre par pierre et tuile par tuile, et envoyés par bateau jusqu’au Japon », explique Virginie Fermaud. L’actuelle directrice du Centre européen d'études japonaises d'Alsace (Ceeja) a elle-même occupé la fonction d’ambassadrice de l’Alsace à Inuyama, il y a près de vingt ans. Aujourd’hui en charge des relations de notre région avec le pays du Soleil-levant, elle témoigne du rôle important joué par cette implantation, symbole fort de ces liens tissés au 19e siècle, à travers l’industrie textile, dans un premier temps. « En 1985, l’envoi des trois bâtiments alsaciens, piloté par le département du Haut-Rhin, a coïncidé avec l’ouverture d’un bureau de représentation de l’Alsace à Tokyo. »
Sarah compte bien mettre à profit cette expérience dans sa future carrière, qu’elle n’imagine pas orientée vers autre chose que le Japon, et en particulier son versant culturel. Elle a d’ores et déjà prévu de se réinscrire à l’université en master à la rentrée… au sein du Département d’études japonaises, bien entendu !
Elsa Collobert
Petite révolution pour les usagers du campus d’Illkirch : dès samedi 23 avril, grâce au prolongement de la ligne de tramway E, ils auront le choix entre deux lignes pour se rendre au travail ou en cours depuis le centre-ville. La ligne E relie aussi désormais les campus de l’Esplanade et d’Illkirch.
Pour se rendre du campus de l'Esplanade à celui d’Illkirch, plus besoin de monter dans le tram E (ligne violette) et de changer pour le A (ligne rouge) à Baggersee. À partir du 23 avril, l’extension de la ligne E du tramway jusqu’au campus d’Illkirch entre officiellement en service. Les voyageurs montant dans le tram à la Meinau, notamment les usagers de l’Espé, auront aussi désormais le choix entre tram A et E pour se rendre jusqu’au campus d’Illkirch. Cette nouveauté, couplée à l’extension de la ligne A vers Graffenstaden, présente le double avantage de simplifier les déplacements des usagers du campus d’Illkirch, tout en réduisant leur temps d’attente en station. Les parcours et horaires des bus ont été adaptés à ces nouveautés.
Pour donner à voir la diversité des parcours professionnels des alumni de l’université, le Service relations alumni* organise un concours de selfies. Alors, avec ou sans perche, faites de votre lieu de travail le décor de votre plus beau cliché, à partir du vendredi 22 avril.
Qui ?
Que vous soyez diplômé, doctorant ou personnel des ex-universités Louis-Pasteur, Marc-Bloch, Robert-Schuman ou de l’actuelle Unistra, inscrit ou non au réseau Alumni, ce concours photo vous est ouvert.
Comment ?
Une règle à respecter pour espérer gagner : prendre un selfie original dans son environnement de travail. Petit plus : intégrer dans son cliché un élément faisant référence au pays ou à la ville où vous travaillez. Il suffit ensuite d’envoyer son selfie (format JPEG) par mail, sans oublier de préciser son prénom, son nom, sa date de naissance, sa ville, ainsi que l’intitulé de son poste et l’entreprise/institution dans laquelle vous travaillez. Indispensable pour que votre candidature soit prise en compte, n’oubliez pas de joindre à votre mail le contrat de cession des droits d’auteur dûment complété.
Quand ?
Votre plus beau selfie est à envoyer à partir du 22 avril et jusqu’au 29 mai 2016, minuit. Le nom des trois gagnants sera publié sur la page Facebook du réseau Alumni et sur son site mercredi 29 juin au plus tard. Dans l’intervalle, les selfies des participants (accompagnés du prénom et de l’initiale du nom de l’auteur) seront soumis aux votes des internautes sur la page Facebook du réseau Alumni, du 6 au 27 juin 2016, midi. Les selfies rassemblant le plus de mentions « j’aime » remporteront le concours : invitez vos amis et les membres de votre réseau à « aimer » !
Le Service pour la promotion de l'action sociale (Spacs) s'associe à l'action de l'Association santé environnement France (ASEF), qui vient en aide aux étudiants de Strasbourg en situation de précarité. Une collecte est organisée mardi 26 avril 2016.
Une collecte de denrées alimentaires est organisée, mardi 26 avril 2016, entre 12 h et 14 h, dans sept lieux de l'université (Institut Le Bel, Palais U, facultés de pharmacie et de médecine, IEP, Patio, Espé). Ce jour-là, vous pourrez apporter votre contribution à cette action de solidarité, en donnant en priorité des produits alimentaires liés au petit-déjeuner.
Quel est le point commun entre le bikini, l’historien français Marc Bloch et le blues rock ? Une initiale, la lettre B, qui les amène côte à côte dans le Dictionnaire historique de la liberté, un nouvel abécédaire édité sous la direction des historiens Nicolas Bourguinat et Georges Bischoff.
« Du point de vue historique, la liberté est un thème mal défini, explique Georges Bischoff, professeur d’histoire médiévale de l’équipe Arts, civilisation et histoire de l’Europe. Lorsque vous vous promenez dans une librairie, vous la retrouvez plus volontiers dans le rayon philosophie que le rayon histoire. » La liberté se définit en effet à travers une multitude de personnages, de processus, d’objets ou de symboles qui ont curieusement échappé à la sagacité des historiens, « soit que le sujet était trop complexe ou alors trop fractionné », reconnait Nicolas Bourguinat, professeur d’histoire contemporaine. De 2012 à 2015, les deux confrères ont supervisé l’édition du premier Dictionnaire historique de la liberté, à la tête d’un collectif de quarante historiens issus de l’université. L’ouvrage de 920 pages recueille ainsi près de 350 entrées et couvre une vaste étendue géographique, avec en son centre l’Europe, sur une période remontant jusqu’à l’Antiquité.
Un abécédaire non exhaustif mais réfléchi
Si des figures de la liberté telles que Simon Bolivar ou Spartacus y trouvent une place légitime, le dictionnaire regorge aussi de faits ou personnages moins emblématiques, mais dont les aspirations libertaires ont particulièrement marqué l’histoire en leur temps, à l’image de Johann Friedrich Struensee, homme politique danois du 18e siècle. « Les choix de sujets se sont organisés selon les domaines de recherche de chacun », explique Nicolas Bourguinat. Au gré des sélections, des entrées ont aussi suscité l’unanimité au sein du collectif. Ainsi l’article « Charlie Hebdo », rédigé dans les semaines ayant précédé le bouclage des textes. « Au lendemain de l’attentat, cette définition nous est apparue absolument nécessaire, pas pour répondre à l’actualité, mais pour rendre hommage aux victimes, explique Georges Bischoff. Ce que nous mettons entre les mains de nos lecteurs, c’est un bouquet composé et pour lequel nous avons fait des choix, parfois arbitraires », résume l’historien.
Un dictionnaire historique pour tous
Car le dictionnaire se veut avant tout accessible au plus grand nombre, des spécialistes avertis aux profanes intéressés. Les historiens ont veillé à maintenir un niveau d’érudition à l’interface de la recherche et de la vulgarisation. « Cela reste un travail scientifique, rappelle Nicolas Bourguinat, certaines notices correspondent à des travaux en cours, originaux, voire inédits. » Une attention qui justifie aussi le format dictionnaire (et poche), plus confortable qu’un manuel chapitré imposant une lecture dirigée. Les lecteurs désireux d’approfondir un sujet trouveront à la fin de chaque article des références utiles à leur soif de connaissances. Dans le sillage de sa sortie, l’ouvrage laisse déjà émerger de nouvelles idées. « Pourquoi pas une série de dictionnaires historiques, s’enthousiasme Georges Bischoff, avec un dictionnaire historique de l’égalité ou des interdits », et si l’occasion d’un nouveau collectif d’auteurs se présente.
Guillaume Thépot
Dictionnaire historique de la liberté, de Georges Bischoff et Nicolas Bourguinat (dir.), Nouveau Monde Éditions, 920 pages, 32 euros.
Chercheurs, doctorants, collègues, amis proches… Ils étaient quelques dizaines de personnes à retrouver le prix Nobel de chimie Martin Karplus jeudi 21 avril à l’Institut des science et d’ingénierie supramoléculaires (Isis), pour assister à la présentation du film biographique qui lui est consacré : Martin Karplus. The invisible made visible.
Le film est le troisième épisode de la série « Die vertreibung der Intelligenz » (L’éviction de l’intelligence) du réalisateur autrichien Eberhard Bussem, qui retrace la vie de plusieurs scientifiques mondialement reconnus. Des scientifiques qui partagent une origine commune, celle d’être nés Autrichiens, juifs et d’avoir fui l’annexion de leur pays par le régime nazi en 1938.
« Lorsque j’ai été sollicité par Eberhard, j’ai hésité, explique Martin Karplus. Puis, en découvrant les films qu’il avait déjà réalisés, j’ai eu envie moi aussi d’apporter mon témoignage à cette part de l’histoire. » Le chercheur de 85 ans ressort alors ses archives familiales, « trois cartons de photos que je conservais et que j’ai rouvert pour l’occasion ». Pendant presque un an, le réalisateur l’accompagne, l’interviewe et le filme à travers ses déplacements professionnels (Harvard, San Francisco, Strasbourg). Le documentaire de 45 minutes retrace ainsi l’enfance, le parcours et la carrière scientifique du prix Nobel de chimie, récompensé en 2013 pour ses recherches dans la modélisation et l’étude des molécules complexes qui animent le vivant. Il donne aussi la part belle à sa passion pour la cuisine et ses talents de photographe. « Dans le même esprit que les films d’Eberhard, j’ai toujours pratiqué la photographie afin de conserver les coutumes des peuples et des cultures que j’ai croisées en voyageant. » Ses photos ont fait l’objet de plusieurs expositions internationales, dont une à Vienne, en mai dernier.
La ville qu’il a été contraint de quitter il y a 75 ans l’accueille en fin de documentaire avec les honneurs et les respects du président autrichien Heinz Fischer : « Nous ne pouvons rien faire pour défaire ce qui a été fait, mais nous pouvons faire en sorte que cela ne se reproduise plus jamais ».
Quatre étudiants en deuxième année de l’IUT Robert-Schuman ont porté haut les couleurs de notre région à l’occasion de la 12e régate des IUT. Victor Andres, Julia Muhr, Pierre Laguna et Mathilde Klotz, accompagnés de deux élèves de première année, Julia et Thomas, ont ralié Saint-Malo à Saint-Brieuc à l'issue d'un challenge de trois jours, du 15 au 17 avril.
Seule représentante de l'Alsace lors de cette course à la voile reliant les deux cités bretonnes, l'équipe des étudiants du DUT Techniques de commercialisation n'a pas à rougir de sa 24e place au classement voile, parmi une trentaine d'équipes. Encore moins de sa 7e place au challenge communication.
« Même si nous avons eu une meilleure place l'an dernier, nous avons davantage participé aux manœuvres cette fois-ci », se félicite Victor Andres, qui participe pour la seconde fois à ce challenge mêlant sport nautique et communication. La course, qui se joue en plusieurs manches, permet aux étudiants de naviguer auprès de skippers, trois jours durant.
L’ancienne présidente de l’Université de Bourgogne a été nommée rectrice de l’académie de Strasbourg lors du conseil des ministres du 2 mars. Elle succède dans cette fonction à Jacques-Pierre Gougeon, en poste depuis octobre 2013.
Au moment où intervient sa nomination, Sophie Béjean est présidente du conseil d’administration du Cnous (Centre national des œuvres universitaires et scolaires) et de Campus France. Professeur des universités en sciences économiques, formée à l'Université de Bourgogne, c’est dans ce même établissement qu’elle devient maître de conférences (1993), puis professeur (2003). Elle est élue à sa tête en 2007, jusqu’en 2012, fonction qu’elle cumule avec la présidence du Pôle de recherche et d’enseignement supérieur (Pres) Bourgogne Franche-Comté, entre 2010 et 2012. Elle a également présidé le processus d’élaboration de la Stranes (Stratégie nationale de l'enseignement supérieur), dont les travaux ont conduit à la présentation d’un rapport, remis au président de la République en septembre.
Après un DUT en Information et communication, une licence Miden* et plusieurs expériences professionnelles, Caroline Guigui pousse les portes de la Faculté de géographie et d’aménagement en 2012. La nouvelle cartothécaire du 3 rue de l’Argonne y découvre l’univers des cartes géologiques et topographiques, avec ses échelles au 1/50 000e ou 1/25 000e, ses cotes, ses meubles à plans et ses tubes de transports
« À ma connaissance, il n’y a pas de formation diplômante au métier de cartothécaire, contrairement à d’autres métiers de la documentation », précise Caroline. Lorsqu’elle prend ses fonctions, elle se familiarise avec la cartographie au contact des enseignants-chercheurs, de l’équipe de la bibliothèque de géographie, et engage une conversion de ce fonds documentaire particulier vers une gestion plus automatisée. « À mon arrivée, l’inventaire et le suivi des prêts étaient encore en format papier », se souvient-elle. Parallèlement à la mise à jour de la cartothèque, elle met en place un catalogue en ligne à destination des enseignants et des étudiants. Ceux-ci peuvent désormais consulter les cartes pédagogiques disponibles, pour lesquelles elle fixe les critères d’emprunt selon les demandes et le nombre d’exemplaires.
Actuellement, elle équipe les cartes les plus utilisées de codes barres que les usagers devront enregistrer à l’aide d’une douchette à scan et de leur Pass campus. « Une petite révolution technologique qui bouleversera peut-être certaines habitudes », remarque Caroline. Une révolution en adéquation avec la politique documentaire de l’université et nécessaire pour intégrer la cartothèque au catalogue du Service commun de la documentation.
Trier, référencer, valoriser
En attendant, le tri des cartes continue. « J’en découvre régulièrement, disséminées dans des tiroirs, au milieu d’autres cartes ou à la suite d’un départ à la retraite, explique-t-elle, avec parfois de vrais trésors. Ça saute aux yeux lorsque l’on tombe sur une carte ancienne, il y a des cartouches assez baroques, des illustrations et des territoires ou continents très approximatifs. »
Un fonds exceptionnel, à l’origine de la récente exposition « Le dessus des cartes anciennes », et dont une partie est également visible sur le site de la bibliothèque numérique patrimoniale de l’université2. « Même si l’information récente est prioritaire, la numérisation est indispensable pour protéger l’ancien, le rendre accessible et même le restaurer visuellement, confirme Caroline. Les expositions sont l’occasion de le valoriser vers l’extérieur. » Elle gère aujourd’hui près de la moitié des 50 000 cartes réparties entre la faculté et la bibliothèque Blaise-Pascal, dont un millier daté du 19e siècle, plus une collection de 400 cartes antérieures à la Révolution française.
« Mes acquis en documentation m’ont permis de remettre à jour la cartothèque et aussi de développer des compétences en gestion d’outils numériques et en communication », résume la cartothécaire, qui se définit aussi comme une personne disponible et touche à tout.
G. T.
* Médiation de l’information et de la documentation dans les environnements numériques
Début avril, Jean Sibilia, doyen de la Faculté de médecine de l’Université de Strasbourg depuis 2011, a été élu à la vice-présidence de la Conférence des doyens des facultés de médecine françaises.
Le professeur et rhumatologue Jean Sibilia, doyen de la Faculté de médecine de l’Université de Strasbourg, a été élu le 5 avril vice-président de la Conférence des doyens des facultés de médecine françaises. Il continue par ailleurs à présider le Comité national de coordination de la recherche (CNCR).
Alexandra Caput, étudiante en troisième année du programme Grande école à l'EM Strasbourg, a remporté fin mars le concours de négociation commerciale francophone Les Négociales, devant 6 000 concurrents. Un véritable tremplin pour l'étudiante en contrat de professionnalisation à La Poste, qui s'est ensuite vue proposer une dizaine d'offres d'emplois dans des grands groupes.
Le principe des Négociales : permettre à des jeunes en formation de se tester et d'évoluer dans des situations de négociation proches de la réalité, à travers des sketches de mise en situation. De véritables jeux de rôle, dans lesquels s'investissent les jeunes futurs commerciaux face à des professionnels, chefs d'entreprises ou responsables commerciaux, venus leur donner la répartie.
Originaire de Colmar, Alexandra Caput a brillé dans cet exercice, coiffant au poteau les 6 000 autres candidats venus de toute la France, mais aussi de Belgique, du Maroc et de Suisse. Étudiante en spécialisation négociation et management commercial, Alexandra termine actuellement ses études en contrat d'apprentissage à la direction commerciale de La Poste, à Strasbourg. On lui prédit un bel avenir professionnel !
Dans le cadre du plan de formation des personnels, plusieurs sessions de préparation aux concours de la Fonction publique sont proposées.
Les candidatures à la préparation aux concours à temps réduit dispensée par l'Ipag (Institut de préparation à l'administration générale) sont ouvertes à compter du 9 mai 2016. Cette formation concerne les agents, titulaires ou non, qui souhaitent se préparer aux différentes épreuves d'admissibilité et d'admission des concours administratifs externes ou internes de catégorie A.
La formation se déroule chaque jeudi, de 9 h à 18 h, de la mi-septembre à fin mars.
Les enseignants du second degré affectés dans un établissement d’enseignement supérieur peuvent demander, lorsqu’ils sont inscrits en vue de la préparation d’un doctorat, à bénéficier d’un aménagement de leur service d’enseignement.
Ce dispositif est détaillé sur l'ENT rubrique Vie de l'université - Domaine de gestion des ressources - Direction des ressources humaines - Personnels enseignants - Personnels enseignants du second degré.
La campagne Validation des acquis de l'expérience (VAE) pour le premier semestre 2016 se poursuit jusqu'au 17 juin.
Les dossiers de demande de financement du coût de l'accompagnement VAE sont à déposer au plus tard le vendredi 17 juin 2016 auprès du Bureau de la formation continue (la fiche de financement est jointe à la circulaire d'information).
Comme chaque année dans la deuxième quinzaine du mois de juin, des stages intensifs de 30 h en anglais et en allemand sont proposés par l'Unistra dans le cadre de l'offre de formation continue des personnels.
Le stage intensif d'anglais se déroule du 20 juin au 1er juillet 2016, au Centre de ressources de langues (CRL) du Pôle européen de gestion et d'économie (Pege) ; celui d’allemand se déroule du 13 au 17 juin 2016, au CRL de l’Institut Le Bel.
Les inscriptions seront ouvertes lors de la diffusion de l'offre mensuelle de juin. Il convient toutefois d'effectuer une pré-inscription en remplissant ce formulaire.
Le Bureau de la formation continue des personnels informe qu'il reste des places pour plusieurs sessions de formation en juin.
Plusieurs places sont encore disponibles pour les formations suivantes :
- « Montage de cursus franco-allemand » (nouveauté 2016, dans le cadre du contrat de site pilotée par l'UHA, 13 et 14 juin, page 27 du catalogue 2016) ;
- « Excel, découvrir le VBA par l'exercice » (nouveauté 2016, 20 et 21 juin, page 207) ;
- « Photoshop perfectionnement » (9 et 10 juin, page 217) ;
- « Gérer une équipe et faire travailler ensemble » (29 et 30 juin, page 183) ;
- « Décider ensemble en mode collaboratif » (nouveauté 2016, 13 et 14 juin, page 195) ;
- « Préparation à la retraite (SFC) » (6, 7 et 8 juin, page 199).
Les fiches d'inscription sont à réceptionner par le bureau de la formation avant mercredi 27 avril 2016 au plus tard, dûment munies de l'avis hiérarchique.
Parler l'alsacien, c’est chic. C’est ce que clament haut et fort les étudiants du cours de pratique de l’alsacien du Département de dialectologie alsacienne et mosellane, à travers une exposition visible à la bibliothèque de langues.
L’alsacien, un dialecte pas très « choli » réservé aux anciens ? Que nenni, affirme l’exposition « S isch chic de parler l'alsacien » ! Riche et vivant, l’alsacien séduit aussi les étudiants, qui lui rendent hommage à travers cette exposition dédiée à la fois à la recherche et à l’enseignement.
Qu’entend-on par "l’alsacien" ? Qu’est-ce que la dialectologie alsacienne ? La littérature alsacienne ? Quelle est la place de l’alsacien à l’université ? Autant de questions passionnantes auxquelles vous trouverez explications et pistes de réponses, du mardi 19 avril au vendredi 30 septembre 2016, à la bibliothèque de langues. Cette dernière accueille depuis peu le fonds de dialectologie alsacienne.
Un aquathlon, trois courses et deux marches : le Service des sports de l’université vous propose de participer à ces épreuves des Courses de Strasbourg sous ses couleurs, les 14 et 15 mai. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au mardi 3 mai.
Pour s’inscrire à l’épreuve d’aquathlon du samedi 14 mai (1 km de natation et 5 km de course à pied ou 500 m de natation et 2,5 km de course à pied), aux courses de 5 km, 10 km, semi-marathon, à la marche nordique ou à la marche de l’Europe du dimanche 15, il suffit de déposer son bulletin d'inscription, ainsi que son certificat médical et le règlement (par chèque à l'ordre de l'AS Unistra ou en liquide) à l'accueil du Centre sportif universitaire (CSU). Le dossier d’inscription peut également être déposé dans la boîte aux lettres du CSU ou au bureau de l'amicale de la Faculté de droit. Les tarifs d’inscription pour ces différentes épreuves varient entre 7 et 15 € (tarifs de groupe). N’hésitez pas à en faire profiter famille et amis. La date limite de retour des dossiers est fixée au mardi 3 mai, à 18 h. Privilège des 140 premiers inscrits : le Service des sports leur offrira un tee-shirt, porté lors de la course.
L’évènement incontournable de la métropole lilloise, c’est sa grande braderie de la rentrée : des millions de visiteurs, des kilomètres de stands, des tonnes de moules-frites, de la musique et des animations !
Le Spacs propose 40 places, comprenant l'aller-retour en train dans la journée, au tarif unique de 49,50 € (tarif de base : 99 €), pour profiter de l'ambiance unique du plus important marché aux puces d’Europe. Dans un premier temps, ce voyage est réservé en priorité au personnel universitaire et leurs ayants-droits (conjoint, enfants).
Après l'Albanie, le Spacs propose un nouveau voyage solidaire, cette fois-ci à destination du Maroc, en immersion dans la vallée heureuse du Haut-Atlas. Douze places sont disponibles pour ce séjour du 22 au 29 octobre 2016.
Le circuit proposé par le Spacs combine marche de découverte avec un guide de montagne francophone, en partie en réserve naturelle, hébergement en pension complète chez l'habitant, ainsi qu'une nuit au riad Aladin à Marrakech.
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 10 mai midi pour une parution le vendredi 13 mai 2016. Consultez les dates des prochains numéros.